Après presque de 16 mois de restriction des réseaux sociaux au Tchad, le record de blackout numérique en Afrique selon Reporters sans frontières, le président de la république a annoncé, à la surprise générale, la levée de la restriction des réseaux sociaux.
Le 17 juin est apparu sur mon fil d’actualité Facebook une vidéo montrant une femme en culotte se faire poignarder jusqu’à la mort part deux individus. Selon la description de la vidéo, il s’agit d’une tchadienne qui travaillait comme domestique au Koweït. Après avoir laissé par inadvertance l’enfant de ses employeurs tomber du haut d’un balcon, ses employeurs l’auraient froidement assassiné. D’où la fameuse vidéo.
ien que le prix du gigaoctet de connexion internet a relativement baissé, les contenus tchadiens sur internet sont toujours à la traîne. Le « boum » des contenus tchadiens qu'on espérait n’a pas eu lieu. Pas de nouveaux contenus, tant en qualité qu’en quantité.
Malgré un quotidien relativement calme, les plus observateurs ont déjà pu constater que le mois de Ramadan n’est pas loin. Pas parce qu’ils ont vu un quelconque calendrier, mais parce qu’ils peuvent déceler à travers ce qui se passe à N’Djaména, les signes annonciateurs de ce mois sacré.
Les acteurs tchadiens du numérique ont intérêt à trouver le plus vite possible un moyen pour dialoguer avec nos autorités et leur expliquer que cette censure internet n’est dans l’intérêt de personne. Sinon, j'ai peur que le Tchad devienne comme la Chine en matière de censure internet.
La première édition du Salon africain de l'agriculture s’est tenu à N’Djaména. L'occasion de promouvoir l'agriculture africaine, mais surtout de re-découvrir les produits tchadiens.
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